Désinsectisation à Vert-Saint-Denis
SOS DDN : éradiquer vos PUNAISES DE LIT
Vous vous faites piquer par un insecte quand vous dormez ou lorsque vous restez sur votre canapé ? Des petites taches de sang ou des tâches noires se trouvent sur votre literie ? Vous constatez des piqures d’insectes sur votre peau ? Ces signes ne trompent pas. Vous êtes sans aucun doute victime d’une infestation de punaise de lit !
PROLIFÉRATION DES PUNAISES DE LIT
Les punaises de lit ont une capacité exceptionnelle de prolifération elles envahissent les literies qui sont des lieux privilégiés de contamination de ces nuisibles (chambres d’hôtes, hôpitaux, maisons de retraite, crèches). Vous les retrouvez dans les tissus, les textiles, les matelas, les coussins, la literie. Insecte hématophage, elle se nourrit de sang tout au long de sa croissance. Elle est à l’origine de piqûres très désagréable qui peuvent déclencher des réactions allergiques parfois sérieuses. Le mode de vie des punaises de lit les rend difficiles à détecter. Elles fuient la lumière, se cachent pour trouver l’obscurité et ne sont active que la nuit. Les punaises de lit sont très résistantes il est donc impératif de traiter.
TRAITEMENT
SOS DDN préconise trois passages à 10-15 jours d’intervalle pour enrayer l’infestation. Le traitement se fait par pulvérisation d’insecticide.
Nous demandons aux occupants des lieux de continuer de vaquer à leurs occupations.
En attendant l’intervention de SOS DDN , il est conseillé dans un premier temps d’aspirer les punaises et de laver le linge à plus de 60°.
Pour que le traitement soit efficace, il faut que les lieux ne soient pas encombrés.
SOS DDN : ÉRADIQUEZ VOS NIDS DE GUÊPES , FRELONS ET INSECTES
En France, on rencontre principalement :
- Les guêpes
- Les frelons européens (rayés jaunes et noir, guêpes XXL) et les frelons asiatiques (corps sombre, pattes jaunes)
- Les abeilles (marron et poilues)
MOEURS
Les guêpes
Les besoins en nourriture des guêpes sont doubles : substances carnées pour les larves, matière sucrées, protéine animale ou végétale pour les adultes.
Les guêpes peuvent être considérées comme des insectes utiles, car elles contribuent au contrôle des insectes nuisibles et au nettoyage des viandes de vertébrés morts ou de poissons. Elles polinisent, bien qu’elles soient probablement moins efficaces que les abeilles. Toutefois, d’une façon générale, les guêpes sont considérées comme nuisibles et dangereuses pour la santé. Quand la population de guêpes est importante, elle peut constituer une réelle menace.
Les frelons européens et les frelons asiatiques
Le frelon européen est essentiellement prédateur d’insectes les plus divers. Il profite aussi des arbres pour récupérer leur écorce qui lui servira à bâtir son nid. Les frelons pillent aussi les ruches pour le miel.
Le frelon asiatique est une espèce exotique présente en France. Elle est facilement différenciable du frelon européen par sa taille et sa couleur caractéristique. C’est un prédateur. Ce frelon s’attaque à une très grande variété de proies : les abeilles, les guêpes, les mouches, les papillons, les araignées mais aussi la viande de vertébrés mort ou le poisson.
Les abeilles
Les abeilles sont souvent très nombreuses, de couleur plutôt marrons et poilues alors que les guêpes sont noires et jaunes.
Il ne faut pas confondre un essaim et un nid. L’arrivée d’un essaim est un phénomène impressionnant mais sans danger.
BON A SAVOIR
Les abeilles sont des espèces protégées et des acteurs importants pour l’équilibre de la nature. Nous conseillons dès lors de contacter un apiculteur pour déplacer leur nid et de ne pas les exterminer.
En cas de présence d’un nid de guêpes ou de frelons près d’une maison, d’une entreprise ou d’une zone à risque comme une école ou une aire de jeux, contactez-nous au plus vite.
LE DANGER DES PIQURES
Les piqûres de guêpes ou de frelons peuvent s’avérer très douloureuses voir mortelles dans le cas où les personnes sont allergiques. On parle alors de choc anaphylactique. La réaction allergique peut alors être fatale et ne dépend pas de la dose injectée. Une seule piqûre suffit à la déclencher. Les autres réactions sont locales (œdème, gonflement, urticaire) ou toxique (maux de tête, vomissement, chute de tension, diarrhées).
BON A SAVOIR
L’insecte est de nature sociable. Dans la majorité des cas, l’insecte ne pique que si l’on s’approche trop près du nid parce qu’il se sent en danger.
OBLIGATION DE TRAITEMENT
En raison des inconvénients et des dangers qu’ils représentent, les guêpes frelons et polistes sont responsables de nuisance, contre lesquelles le Règlement Sanitaire Départemental oblige les occupants de logements et de locaux de préparation ou de vente d’aliments à prendre les mesures de protection qui s’imposent.
Cette obligation résulte de :
Pour les particuliers
Article 23.1 du règlement type : « Dans le cas où l’importance de l’insalubrité (dans les locaux d’habitation) est susceptible de porter une atteinte grave à la santé ou à la salubrité et à la sécurité du voisinage, il est enjoint aux occupants de faire procéder d’urgence à la désinsectisation des locaux ». Cet article concerne notamment les propriétaires ou les bailleurs.
Pour les professionnels
Article 130.5 concernant l’hygiène de l’alimentation : « Les propriétaires ou gérants (de magasins d’alimentation, d’ateliers et laboratoires de préparation d’aliments) doivent faire procéder si nécessaire aux opérations de désinsectisation et de dératisation en évitant toute contamination des denrées alimentaires. »
TRAITEMENT
En premier lieu, il faut procéder au repérage des lieux. La localisation des nids est souvent difficile. Pour cela il faut constater des allées et venues incessantes. La présence de ces insectes sur vos végétaux ne justifie pas la nécessité de faire appel à un professionnel car leur nid peut se trouver dans un autre lieu. Le déplacement d’un technicien ne se fera que pour détruire un nid repéré.
SOS DDN : FOURMIS - traitement
En France, quelque 180 espèces ont pu être identifiées, mais trois se retrouvent principalement dans les zones bâties et à l’intérieur des habitations.
- La fourmi rouge
- La fourmi noire
- La fourmi pharaon
Les fourmis ont une organisation sociale en castes. Dans cette organisation 5 à 10% des ouvrières sortent de la fourmilière. C’est contre elles que nous menons notre lutte.
Les ouvrières sont nuisibles par leur recherche permanente de nourriture. Les infestations se propagent à l’intérieur des bâtiments par les gaines techniques, les vide-ordures… et d’une manière générale toutes les fissures, fentes et même dans des cloisons de maison.
En raison des inconvénients qu’elles représentent, les fourmis sont considérées comme des nuisibles contre lesquels le Règlement Sanitaire Départemental oblige les occupants de logements et de locaux de préparation ou de vente d’aliments à lutter.
TRAITEMENT
SOS DDN traite selon deux méthodes :
- La pulvérisation de surface avec des insecticides de contact (création d’une barrière chimique).
- Application d’appâts sous forme de gel. SOS DDN privilégie cette méthode car le gel est non volatil, inodore et à haute rémanence.
Le traitement de surface provoquera selon les spécialités utilisées deux effets :
- Destruction immédiate des insectes
- Destruction différée par le transport de l’insecticide au sein de la fourmilière
Dans les deux méthodes, le traitement doit être fait sur les lieux de cheminement des fourmis.
BON A SAVOIR
Les fourmis ont un rôle dans la protection de l’environnement.
Elles sont importantes pour le maintien des sols en bonne santé car elles les aèrent, leur apportent des éléments organiques (leurs excréments, leurs cadavres, leurs restes de nourriture…), de l’humidité, de l’oxygène et elles les brassent.
Les fourmis servent de nourriture à de nombreux animaux.
SOS DDN : éradiquer vos BLATTES
En France, sur environ 20 espèces recensées, seules 4 espèces de blattes sont considérées comme domestiques, résidant ou trouvant refuge dans les constructions. Il s’agit de la blatte américaine (Periplaneta americana), la blatte orientale (Blatta orientalis), la blatte des meubles (Supella longipalpa) plus rare et la blatte germanique (Blatte germanica) qui est la plus répandue.
MŒURS ET NUISANCES DES BLATTES
Les principales blattes entraînant des nuisances sont la blatte germanique, américaine et orientale. De nombreuses autres espèces existent, susceptibles de représenter des nuisances pour l’homme et son environnement comme la blatte forestière ambrée (Ectobius Vittiventris).
Les blattes fréquentent de préférence, suivant les espèces, des lieux chauds, humides et abrités de la lumière. Ayant une activité crépusculaire et nocturne, elles prennent possession des cuisines, des salles d’eau, des gaines techniques et de nombreux recoins, dès la nuit tombée.
Elles ont un besoin vital d’eau et se nourrissent de toutes matières végétales et animales.
A partir d’un seul point d’infestation, en quelques semaines elles peuvent proliférer dans l’ensemble d’un bâtiment ou d’un immeuble (locaux, poubelles, réception des colonnes de vide-ordures, chaufferie, conduite d’eau).
Elles peuvent s’introduire à l’intérieur d’installations, machines, tableaux de commandes, appareils ménagers… où elles provoquent des courts-circuits et dégradations.
Elles souillent les denrées alimentaires avec leurs excréments, ce qui peut transmettre des germes pathogènes responsables de maladies telles que : gastro-entérites, aggravation de l’asthme sur les sujets asthmatiques, salmonellose, allergies… Souvent aggravée par une mauvaise tenue des locaux, la présence de blattes nuit franchement à la réputation des lieux tels que les hôtels, restaurants, hôpitaux, écoles, milieux agro-alimentaires…
REALISATION DU TRAITEMENT CONTRE LES BLATTES
Les caractéristiques du traitement sont déterminées par la nature de l’objectif : immeuble d’habitation, local industriel, commercial ou sanitaire. Selon les cas, les surfaces seront traitées par pose de gel ou par pulvérisation.
SOS DDN privilégie le gel car il est inodore, non volatil et à haute rémanence. Le traitement par pulvérisation n’est utilisé qu’en cas d’infestation importante.
Les blattes agricoles sont très fréquentes, notamment en milieu rural, où elles vivent, par exemple, dans les herbes, les feuilles mortes, ou encore sur les buissons. Les incursions dans l'habitat ne sont pas rares, mais ces petites blattes n'y séjournent pas, et ne présentent donc pas de risques.
Elles s'y rencontrent en exemplaire isolé, ce qui permet de les différencier des blattes "domestiques" qui elles "colonisent" très vite les lieux !
Aucun insecticide n’agit sur les œufs de blattes.
ATTENTION !
Ne pas confondre les blattes dites domestiques avec les blattes agricoles dites des jardins.
LA CHENILLE PROCESSIONNAIRE DU PIN
La femelle papillon recherche un pin (pin noir d’Autriche, laricio de Corse, Salzman, pin de Monterey, maritime sylvestre et pin d’Alep) et dans une moindre mesure un cèdre pour y pondre ses œufs par paquets de 150 à 320 formant un manchon gris argenté recouvert d’écailles. L’éclosion a lieu cinq à six semaines après la ponte. Les jeunes chenilles tissent des pré-nids où elles passent la journée.
Les larves commencent à manger le limbe des aiguilles du pin. Dès que la zone autour de leur abri n’offre plus assez de nourriture, les chenilles émigrent plus haut dans l’arbre et reforment un nouveau nid. C’est ainsi que par de belles journées ensoleillées, on peut les voir en procession sur le tronc ou les branches d’un pin. Elles vivent en colonies de plusieurs centaines de chenilles.
Au printemps, les chenilles en procession conduite par une femelle, quitte l’arbre pour aller s’enfouir dans le sol à quelques centimètres sous terre dans un endroit bien ensoleillé. Les processions peuvent se déplacer jusqu’à 40 m. Les chrysalides transformées en papillon sortent de terre.
Le cycle peut alors reprendre par accouplement de la femelle et du mâle qui meurt un ou deux jours après, alors que la femelle s’envole vers une branche pour pondre ses 70 à 300 œufs avant de mourir aussi. Elles se nourrissent des aiguilles de diverses espèces de pins mais aussi de cèdres, provoquant un affaiblissement important des arbres.
RISQUES POUR L’HOMME ET LES ANIMAUX
Les chenilles processionnaires sont recouvertes de poils qui dispersés par le vent ou par nous-même (tonte de la pelouse en essayant de détruire une procession…) peuvent provoquer une irritation chez les personnes et les animaux.
Les symptômes cliniques présentés en cours d’une exposition directe ou indirecte aux chenilles processionnaires sont les suivants :
En cas de contact avec la peau :
- Eruption douloureuse, démangeaisons
En cas de contact avec les yeux :
- Conjonctivite (yeux rouges, douloureux et larmoyants)
En cas de contact par inhalation :
- Les poils urticants irritent les voies respiratoires. Cette irritation se manifeste par des éternuements, des maux de gorge, des difficultés à déglutir et éventuellement des difficultés respiratoires.
En cas de contact par ingestion :
- Inflammation des muqueuses de la bouche et des intestins.
Dans le cas des animaux, si ces derniers lèchent ou touchent les chenilles vivantes, mortes ou bien des restants de nids avec leur museau, ils peuvent souffrir de divers symptômes. Ils couinent, se mettent à baver, la langue gonfle et présente des tuméfactions avec un durcissement assez inquiétant. Une action rapide du vétérinaire est vitale.
TRAITEMENT
SOS DDN préconise l’échenillage mécanique (enlèvement) des pré-nids ou nids d’hiver et la pose d’écopièges de novembre à avril sur les troncs des arbres.
L’écopiège collecte en quasi-totalité les chenilles et permet leur destruction au stade de la chrysalide.
